Nulla dies sine linea

Nulla dies sine linea

Nulla dies sine linea ou se replonger dans une ambiance. Recréer une atmosphère.

Une question de motivation

Retourner à l’écriture… loin d’être toujours évident.
Il faut savoir passer outre les petits tracas du quotidien, savoir gérer avec son entourage, ses amis, sa famille, ses collègues.
Parfois, on est “condamné” à laisser une épaule de libre pour qui veut bien s’étendre sur ses petits soucis du jour.

Enfin, il y a aussi la motivation pour écrire, la trouille parfois devant cette page blanche.
Pour ma part, c’est surtout le départ, les premières phrases qui me font peur. Elles donnent l’impulsion à mon rythme, à mon écriture, à mon flow.

Trouver le mot juste, celui qui claque, celui qui séduit, celui qui en dit un peu, pas trop, juste ce qu’il faut.

L’éternelle interrogation

Il y a des jours avec et des jours sans.
Il y a ces jours où l’on attend encore une réponse positive d’un éditeur. Une journée pour 100 passées à écrire, écrire, écrire.
Il y en a d’autres où l’on se demande vraiment pourquoi écrire ? Est-ce que ça vaut vraiment le coup ?
Que faire d’autre ? Suis-je capable de faire autre chose ?
Même si je continue à écrire toute la journée avec mon activité de concepteur rédacteur – je tiens le rythme de 3000 mots / jour en moyenne -, la question de l’écriture “pour moi” est toujours là.

Et, pourtant, je suis auteur. Ça fait partie de mon ADN semble-t-il.
Il faut écrire, n’est-ce pas ? Nulla dies sine linea, pas un jour sans (tracer) une ligne…

Ça paraît tellement simple, évident quand on en voit certains.

NB : je tiens tout de même à remercier celles et ceux qui me donnent des coups de pieds aux fesses, qui m’intiment de poursuivre, de faire une suite pour MAHEL ou pour le roman de Léonard par exemple.

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