Instagram ou le monde scriboïque

Instagram ou le monde scriboïque… ou comment je transmets une partie de mes rêves, de mes envies.

Instagram et le monde scriboïque de Neil Thomas

Instagram vs Facebook

Certains d’entre vous s’en doutent déjà ou le savent très bien, j’ai une relation amour-haine avec Facebook.
Tantôt je quitte le réseau social, tantôt je reviens dans ses bras.
Mais force est de constater que ce réseau véhicule pas mal de haine, d’intransigeance, de critiques gratuites.
En gros, du négatif en barre.

Alors, oui, on a les amis qu’on choisit. Et je dois avoir certains “amis Facebook” qui ne collent pas ou plus à mes aspirations.

Toute cette ambiance n’invite pas à venir s’exprimer de manière autre disons, enfin pas chez moi. Ce n’est pas que je redoute les avis des uns et des autres – loin de là – mais l’envie n’y est pas, ou de moins en moins.
Et scroller pour scroller ou lire l’avis des autres, ça va un moment.

Et c’est là que le bât blesse.
J’ai rencontré des gens qui sont devenus des amis dans la vie IRL, d’autres avec qui j’ai une vraie amitié virtuelle je pense (drôle d’expression.. peut-on être ami virtuellement ? Vous avez 4 heures..), des auteurs, des lecteurs, etc.
Et je n’ai pas envie de tourner le dos à tout cela.

Facebook est un lieu quasiment obligatoire quand on est un auteur et que l’on a le désir de transmettre quelques mots autour de soi, notamment par les livres.
Alors, je me tourne vers son réseau confrère, Instagram, propriété de Facebook.

Instagram pour s’exprimer positivement

Sur Instagram, je trouve qu’il y a moins de bruit et de fureur que sur FB.
La communication se fait par l’image.
Et pour un homme qui manie les mots, cela fait du bien.
Alors, voilà où j’en suis : j’ai envie de m’entourer de gens positifs, de gens inspirants, qui savent me motiver.
Des gens avec qui je peux échanger sur des aspirations plus élevées.

Mon compte Instagram est dans cette veine, tout du moins je le souhaite.

Instagram ou mon monde scriboïque

Certains sont réfractaires au changement ou à tenter d’autres réseaux sociaux, je comprends très bien.
Pour ma part, je trouve un équilibre avec mes 3 réseaux :
Chacun a une utilité différente.

  • Facebook : un compte pour échanger et partager, enfin jusqu’ici.
  • Instagram : un compte où je nourris mon imagination.
  • Twitter : un compte où je m’informe.

Et désormais, Instagram prend le pas sur Facebook.
Mon compte se découpe comme suit :

  • Les posts concernent le monde scriboïque sous la forme de mots : les miens ou ceux d’autres, des clins d’œil ou la promo de mes bouquins.
  • Les storys qui sont le lieu d’expression de ce qui nourrit mon monde scriboïque : ce sont des envies d’évasion et de voyage, de lieux à visiter, des paysages renversants, des morceaux de rêve, de l’art qui m’émeut, de l’architecture qui me parle, des livres qui viennent agrandir ma PAL, des phrases motivantes ou des citations positives qui me nourrissent, ou encore les partages de posts d’amis qui me parlent personnellement. Bref, tout ce qui peut nourrir mon imaginaire.

Voilà, vous savez un peu près tout où j’en suis actuellement vis-à-vis des RS, et notamment d’Instagram.
Si vous êtes par là, rejoignez-moi !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.