Ecrire : Le vertige

le vertige

Début 2017, suite.
Mon travail en tant que rédacteur web me prend du temps, beaucoup d’énergie et c’est hyper passionnant.
Mais voilà, l’envie, l’urgence même, est de retour : je vais écrire à nouveau.
Déjà 2 projets en tête, peut-être un 3e… on verra pour la question du sommeil plus tard.
Je vais commencer bientôt, très bientôt. De toute façon, je l’ai écrit, donc je dois me tenir à ce qui est.

Quoiqu’il arrive, vous allez pouvoir suivre (à nouveau pour ceux qui m’ont rejoint récemment) les aléas de la construction d’un livre selon Neil Thomas, les hauts comme les bas, les techniques, mes astuces, mes trucs.
Je vais commencer très bientôt donc.

Mais j’ai le vertige, comme si je me penchais au-dessus d’un précipice ou comme si j’étais en haut d’un building et que je contemplais la vie sous mes pieds.
Il y a une excitation, un stress, une envie de crier, d’hurler, de rire nerveusement, de se gonfler les poumons d’orgueil et d’air frais… sait-on écrire de nouveau après un si long moment d’absence ? Est-ce comme le vélo ?
Vais-je retrouver des réflexes ?
Vais-je en développer d’autres ?
J’ai le vertige, oui.
Mais j’aime cela, c’est aussi cette part de “risque” qui me séduit dans l’écriture.